Présentation
L’Adéus, ça veut dire « L’Agence D’Études Urbaines & Sociales ».
Pas parce que nous faisons des études urbaines et des études sociales, non ! Parce que nous faisons des études « urbaines & sociales », les deux ensemble. Ou peut-être devrions nous dire « territoriales et sociales » puisque à l’heure de « l’égalité des territoires », nous allons un peu partout, là où on nous demande… à la ville et à la campagne ! À moins que vous n’entendiez « urbaine » dans son sens second : « qui fait preuve de savoir vivre, de politesse, d’urbanité »… et ça, à l’Agence, on sait faire, aussi…
Donc, l’Adéus, c’est quoi ?
C’est une agence qui propose des diagnostics, des études, des actions de formation, des conseils, une assistance à maîtrise d’ouvrage, des évaluations, et ce dans quelques domaines de prédilection :
– le premier, c’est tout ce qui peut concourir à améliorer la situation des habitant.e.s des quartiers dits « populaires », qu’il s’agisse des « grands ensembles d’habitat social » ou de centres-anciens dégradés.
Améliorer le cadre de vie, la qualité de vie, le bien vivre ensemble… Et là, c’est plutôt l’affaire de la Politique de la Ville (vous savez, les Contrats de Ville, qui sont devenus des CUCS avant de redevenir des Contrats de Ville, mais d’agglo, cette fois…), du Renouvellement Urbain, de la Gestion Urbaine de Proximité, de la mobilisation et de la participation des habitant.e.s…
Ces missions peuvent s’inscrire dans deux de nos terrains de jeux: « Le territoires solidaire », et « L’esprit des lieux »
– le second, on pourrait dire que c’est pour tout ce qui peut contribuer à renforcer ou adapter l’offre en logements.
Selon qui on est, d’où on vient, combien on gagne, combien on est dans la famille, nous n’avons pas les mêmes besoins, pas les mêmes opportunités. Que l’on soit étudiant.e ou « français.e itinérant.e » (si si, vous connaissez, les « gens du voyage »), personne âgée ou famille nombreuse, on nécessite des réponses adaptées. Et nous, on peut être là pour essayer d’aider à définir et programmer les réponses adaptées. Celles-ci passent autant par des réflexions sur « l’offre » (production neuve, réhabilitation, adaptation…) que sur les dynamiques résidentielles, le peuplement, les stratégies d’attributions et de mutations dans le logement social.
Ici, le terrain de jeu, c’est celui de « La Ville Accessible, le logement pour tous »
– le troisième domaine, nous pourrions dire que c’est celui de l’égalité.
Et oui, selon où on est né.e, d’où l’on vient, la couleur de sa peau, sa religion, son genre, ou simplement son adresse, nous n’avons pas tous exactement les mêmes chances, les mêmes opportunités, les mêmes choix. On parle alors de Lutte contre les Discriminations, d’intégration, d’inclusion… Et nous, à l’Agence, on essaye d’accompagner ceux qui le veulent pour changer leurs pratiques, pour mieux comprendre, et peut-être rendre le système un peu plus égalitaire.
Naturellement, notre terrain de jeu pour ces missions, c’est « le territoire solidaire »…
– Le quatrième domaine, c’est celui de l’implication des parties-prenantes, de la participation, de la prise en compte des usages, de la concertation.
Et il s’agit ici pour nous d’intervenir aux différentes échelles : l’échelle politique, l’échelle institutionnelle et l’échelle citoyenne. Pour faire sens, les projets doivent être construits sur des logiques ascendantes, partagés entre les décideurs, les technicien.ne.s qui les mettent en œuvre, et les citoyen.ne.s qui les vivent au quotidien. Dans ce registre, nous intervenons également en appui aux maîtres d’œuvres (architectes, urbanistes, paysagistes) pour les aider à construire des projets adaptés à « l’esprit des lieux »…
L’enjeu, pour nous, c’est autant de créer des interactions entre les habitant.e.s, les act.eur.rice.s, les partenaires d’un projet, interactions qui vont créer du « matériau » pour l’expertise sociologique, que d’aider à concevoir des projets adaptés aux bénéficiaires. Mais c’est aussi d’initier un processus de redynamisation sociale à partir de la mobilisation des personnes présentes…
Ce domaine, nous essayons de le mobiliser quels que soient les terrains de jeu: « la ville accessible », « l’esprit des lieux », le territoire apprenant », « le territoire solidaire », « les territoires en mouvement ».
– enfin, vu que nous sommes curieux, nous essayons de travailler aussi sur pleins d’autres choses, en fonction des demandes, des opportunités, des appels d’offres qui sortent, et, pourquoi pas de nos envies.
Dans ces différents domaines, et malgré un éclectisme revendiqué, on essaye d’avoir quelques fondamentaux.
– C’est par exemple celui d’avoir « les pieds sur terre ».
Vu que nous sommes un peu sociologues, on aime bien être sur le terrain, rencontrer les gens, les habitant.e.s, les professionnel.le.s, prendre le temps de discuter avec eux. Et c’est pareil avec nos commanditaires, nos client.e.s, nos partenaires. On ne travaille jamais mieux que dans une relation de confiance et de franchise, tout en restant indépendant : on dit ce que l’on pense, et après on échange !
– C’est aussi la volonté d’associer les acteurs à nos travaux :
Les habitant.e.s d’un quartier, les bénéficiaires d’un dispositif sont les mieux placés pour en parler, et pourquoi pas pour l’élaborer (les jargonneurs ont même inventé le terme de « co-design de politiques publiques » ou de « design thinking »…). Voire même – et la nouvelle politique de la ville l’a inscrit dans ses gènes – pour intégrer sa gouvernance, ou son pilotage. Ce qui peut nécessiter de les accompagner, de les former, de les mettre en situation. L’enjeu: organiser un management de projet en mode « parties-prenantes »!
– C’est également l’impératif de garder une approche transversale, un peu selon les principes du développement durable :
…articuler à la question sociale les questions économiques et environnementales, et ce, jusque dans nos propres pratiques !
Mais nos fondamentaux, c’est aussi – et d’abord – essayer de se faire plaisir dans les travaux que nous menons, de toujours se questionner, s’interroger, accepter de poser la question du sens de ce que l’on fait, du « pourquoi » on le fait…
– C’est enfin celui des approches coopératives et de réseaux
« On est plus intelligents à plusieurs!« : une réflexion à plusieurs est toujours plus riche que la somme des réflexions individuelles… Alors, nous travaillons peu seuls.
Nous prenons largement appui sur nos partenaires « naturels » du groupereflex_.
C’est un réseau d’équipes spécialisées dans le conseil en politiques publiques et l’élaboration de projets territoriaux, constitué autour de valeurs communes d’indépendance, d’objectivité et d’humanisme.
Les équipes constituées via le réseau associent aussi bien des expert.e.s confirmé.e.s, spécialistes de certains champs des politiques publiques, que des consultant.e.s plus généralistes, à même de croiser les problématiques et les enjeux dans une approche systémique. Mobilisant des intervenant.e.s de terrain, les équipes reflex_ peuvent optimiser les proximité géographiques pour intervenir avec la disponibilité nécessaire. Riches des missions développées ailleurs, elles peuvent aussi éclairer les problématiques à l’oeuvre par des initiatives menées dans d’autres territoires
Mais nous ne sommes pas exclusifs et sommes amenés à travailler avec une diversité d’autres équipes…
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Par exemple des architectes et urbanistes:
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des paysagistes:
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des programmistes et des OPCu
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des bureaux d’études techniques
- setec international,
- Intervia groupe Merlin
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des spécialistes des démarches participatives
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de l’intervention sociale
N’hésitez pas à nous contacter pour tout projet de collaboration!